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Coups de coeur

Chicago, 1959. Charlie Rizzo, qui vient de perdre sa mère, doit emménager avec son père aveugle. Pour le jeune garçon, l'histoire est limpide : Matt Rizzo a perdu la vue à la suite d'un accident de chasse, comme il le lui a toujours raconté. Mais le jour où un policier sonne à leur porte, Matt choisit de révéler à son fils la partie immergée de son passé, et la véritable raison de sa cécité : un vol à main armé qu'il a commis des années plus tôt, alors qu'il fréquentait la mafia de Chicago...


L’info est tombée : les licornes n’ont plus la cote auprès des enfants ! Elles ont été remplacées par le Groloviou à poils doux. Poufy et ses consœurs doivent rejoindre la résidence Beau Séjour qui accueille d’autres animaux tombés en disgrâce. Elle nous raconte sa vie, ses activités, ses relations avec les autres animaux. Une vie plutôt agréable. Un interdit cependant titille Poufy et son nouvel ami Dodu : la direction interdit formellement l’accès au sous-sol aux résidents. Qu’à cela ne tienne : Poufy et Dodu échafaude un plan pour s’introduire dans le lieu interdit.


La Kabylie dans les années 1980. Le lever du soleil illumine la vie dans ce village au cœur des montagnes du Djurdjura. Ouardia, jeune femme, s’asperge d’eau le visage. C’est aujourd’hui que son bébé va naître à la maison. Hadjila, la sage-femme traditionnelle va accompagner Ouardia. L’entraide entre femmes s’organise naturellement, précisément.


C’est toujours un plaisir de retrouver Jacky Schwartzmann, avec son style d’écriture que n’aurait pas renié Frédéric Dard. Et là, double plaisir, car il revient avec un roman qui reprend son thème de prédilection : dépeindre les petites escroqueries qui virent vite dans le nimportnawak ! C’est donc avec délectation que l’on se plonge dans Kasso.


Futur lointain (ou proche, qui sait ?), la civilisation a périclité au profit d’un monde dominé par les déchets et les ressources qui en découlent. Dans ce décor post-apocalyptique, une bande d’enfants appelés « Les mouches », survit en récupérant des objets dans une décharge géante afin de gagner de quoi manger.


Dans La communion, ce qui impressionne dès le début, c’est le travail de la photographie. Les plans sont d’une netteté intense qui renforce de sublimes clair-obscur. Ces derniers semblent tout au long du film appuyer l’ambivalence de Daniel, jeune délinquant qui se découvre une vocation spirituelle en centre de détention. Mais le crime qu’il a commis l’empêche d’accéder aux études de séminariste. A sa sortie de prison, il rejoint une petite ville pour y travailler dans un atelier de menuiserie, mais par un concours de circonstances, c’est la place du prêtre qu’il va prendre.


L’été est là et Estelle voit de nouveaux vacanciers particuliers arriver dans le gîte de montagne de sa mère. Accompagnée de son petit frère Aurélien, elle découvre un groupe d’handicapés moteur et Kévin, un vieux monsieur déficient mental.

Très vite, les deux enfants s’attachent à ce drôle de bonhomme en pantoufles qui traîne sa pipe éteinte et son ours en peluche. Ils partent en randonnée, font du cheval…


Illustrations magnifiques et format géant sont au rendez-vous dans cet album documentaire très original !


Quelques jours après l’annonce gouvernementale d’un confinement, en Mars dernier, une rubrique Chroniques du cinéma confiné est apparue sur le site des Fiches du cinéma.


Salamantina, dite Sam, est la fille du chef de la tribu. Dans sa tribu, on suit un certain nombre de règles afin de respecter la Tradition.

Les garçons doivent porter une plarmure, même si elle est trop grande pour eux, afin une fois adulte, de participer à la bagarre. Les filles doivent avoir toujours sur elle leur martotal, pour dégonfler les moumouths, étaler la pâte à parte, peigner les bloutons et surtout ranger le village.